Haute négocitation

Depuis plusieurs heures déjà, les politiciens elfes, de différentes régions, parlaient des mesures à prendre pour la guerre. Les uns voulaient évités la guerre, d'autres la trouvaient inévitables et voulaient la préparer au plus vite. Beren était le seul léonide présent.Les autres léonides lui avaient laissés cette tâche, car il était le meilleur des négociateurs de l'Empire.Mais aucune décision ne se prenait, et le temps passait lentement.
Beren était désespéré.Puis, soudain, il entendit son nom:
-Elensar Beren, maitre léonide. Quels sont les décisions de votre peuple par rapport à cette guerre?
Beren se leva, et passa au centre de l'ambassade.C'était une salle magnifique.On l'appelait "salle de négociations", mais c'était en fait un amphithéâtre immense où était disposé tout les politiciens, les princes, les régents, les seigneurs et les dames d'Alhambra.Mais il était le seul léonide.Il releva la tête, et se mit à parler d'une voix forte, pour que tous entendent les opinions du peuple léonide.
-Messieurs les politiciens, cette guerre est une grave erreur.Malheureusement, les négociations sont de plus en plus difficiles.Mais ce n'est pas impossible.Nous, les leonides, nous ne sommes pas un peuple guerrier, et nous ne voulons pas de cette guerre.C'est tout ce que j'ai à dire.
Puis Beren retourna s'assoir, et les négociations repartirent dans un brouhaha de paroles intenses.Soudain, la porte s'ouvrit en grand, et une silhouette s'avança au centre de l'amphithéâtre.

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Au fond de la grande salle, contre une tapisserie pourpre, une immense statue en taille réelle représentait un dragon blanc majestueux, les ailes en partie repliés sur le dos. Son coup long et gracile tournait sa tête vers l’assemblé, son museau aux allures équines et ses yeux dorés braqué sur la grande table. La créature massive était représentée assise, ce qui lui donnait des airs de chien géant, n’était-ce que ses deux pattes avant, ressemblant a des grandes mains osseuses et terminés par de terribles griffes dorées.

Chacun avait put, en entrant, admirer le travail génial de l’artiste, ayant réussit a reproduire avec une fidélité criante la terrible Protectrice de la Reine, Nazgal La Blanche.

Si les parlementaire les plus proche de la statue titanesque ne purent retenir quelques regard inquiet au début de la séance, ils eurent fitent fait de l’oublié, le temps et les débat passant.

Nazgal, avait envie de bailler. En tant que dragons des glaces, Elle avait la faculté de ce tenir dans une parfaite immobilité pendant plusieurs heures entières. C’est exactement ce qu’elle faisait actuellement. Souhaitant étudier le caractère de chacun, elle c’était placée dans la salle, avant l’arrivée des politiciens, et avait pris une pose a la fois confortable, pratique pour sa besogne, et servant son camouflage. Elle espérait juste qu’aucun de ces fatiguants blablateurs n’est la fâcheuse idée de la toucher, car si elle pouvait ralentir les battement de son cœur, elle ne pouvait se rendre dur comme la pierre !

Cependant, l’ennuis commençait a avoir raison de son zèle, et son humeur déclinait a mesure que le débat piétinait. Par pure reflexe, elle agita légèrement le bout de sa longue queue, dans un signe d’agacement avant de ce rendre compte de son erreur. Elle pria pour que personne ne l’ai vu, pas même ce Léonide, car elle savait leur race très enclin a tout voir, surtout ce qu’il de devrait pas. Elle compta donc sur leur tout aussi connu sagesse, pour que si il avait vu le mouvement, il n’en souffle mot qu’ à elle-même, à la rigueur.

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Impatience! Voila le mot qui décrivait le mieux ce qui rongeait Liana comme un acide. Elle patientait sur son siège depuis des heures déja, patiement, tranquilement, impassiblement...Mais maintenant, sa capacité d'inactivité était épuisée. Elle se leva donc, assez séchement, attirant le regard des autres personnes présente sur elle.

Le jeune femme les regarda tous un par un, dans les yeux, ses pupilles turquoises ne rencontrant aucun obtacle durable. Satisfaite, elle réajusta sa tenue pour la suite des événements.

Prévoyante, Liana s'était vétu pour la circonstance. Elle portait donc un chemisier de lin blanc au manche bouffante découvrant les épaules. Par dessus, et serrant sa taille fine, un corset de fin velours rouge grenat, fermé par un lacet de satin noir. En bas, elle portait une longue jupe de velour blanc, sans jupons. Enfin, ses pieds portaient de simple sandales de cuir simple, chaussures qui juraient avec l'élégance du reste de sa tenue.
Ce que l'étrange femme fit ensuite stupéfia plus encore les spectateurs!
Elle défit ses chaussures, les déposant dans un e belle besasse de cuir marron-rouge ouvragé, puis désséra son corset. Elle dégagea d'aventage les manche de son chemisier, et retira la pince qu'elleavait faite a la taille de sa jupe.

Flottant a présent dans ses vétements, Liana s'éloigna un peu des bancs et put prendre sa forme originel. Une magnifique et jeune léonide se tenait a présent devant les spectateurs médusés.

Liana vérifia l'ajustement de sa tenue, attacha sa crinière roux cuivre avec un rubant de soie rouge, et pris son sac. Et comme si rien n'était plus naturel, elle ouvrit a la volé la porte de la salle du conseil, ses pattes arrières lui donnant cette démarche souple et féline caractéristique des léonides.

Lorsqu'elle entra, tous ce tournèrent vers elle, naturellement. Elle n'y pris pas garde, et parcourut la salle des yeux. Son regard de ciel d'été ce posa sur la statue au fond de la salle. Elle pencha légérement la tête sur le coté, dans un geste de perplexité, mais oublia bien vite sa curiosité, méchant élément perturbateur.

Elle repera immédiatement l'autre Léonide dans la salle. C'était un male, légérement plus agé qu'elle semblait t'il. Les rêgles communautaire étant très strictes chez ce peuple, elle se tourna vers lui en premier, effectuant le salut d'usage : le poing sur le plexus (respect), puis qui ce tend vers l'autre, à la vertical, mimant une main tenant une lance (honneur).

sans gène, elle alla prendre une chaise et s'approcha de la table, a la droite du male, comme le voulait les usages léonides. Les humain présent a coté se poussèrent d'eux même pour lui faire de la place.

Son arrivé avait coupé court aux conversation, et une pause de quelques minutes fut déclaré afin que chacun puisse reprendre ses esprits et le court de ses pensées. Elle se présenta donc au mâle.

Liana Amesage, sans ligné.

Les léonides donnait toujours leurs géniteurs dans leur nom, car ils vivaient en clan, et cela donnait beaucoup d'information sur l'ipmportance social de la personne. Autant dire que les sans ligné était considéré par beaucoup comme des moins que rien. Mais elle avait annoncé cela sur un ton de défis, habitué aux raillerries et autre ségrégations.

Beren fut très étonné, de découvrir que la nouvelle venue n'était autre...qu'un autre léonide.
Elle se dirigea vers le banc du léonide avec une démarche très gracieuse.Puis elle utilisa les formules de rigueur léonide.Beren répondit de la même façon, mais changea le code car il s'agissait d'une femme.En fait, il posa la paume de sa main sur son plexus, et utilisa le même signe pour le respect.Puis, après que la léonide se fut présentée, il en fit de même:
-Elensar Beren, petit cousin de l'empereur.
On parlait normalement de ses parents, mais, être de famille avec l'empereur, même à un degré aussi éloigné, était un honneur;Il lui fallait donc le lui dire à chaque nouvelle rencontre.
Elle s'était décrite comme sans lignée, et l'avait dit sur un ton étrange, tentant peut-être de défier Beren, il lui répondit simplement:
-Peut m'importe tes origines, ma sœur.Ici, tu es une léonide, comme moi, entourée par ces politiciens elfes.
Il lui sourit, et l'examina.Elle portait un sac en cuir très élégant, qui comportait peut-être des dossiers.Il désigna le sac avec la tête et demanda, intrigué:
-Tu as ici des éléments politiques, où tu n'a rien de spécial?Des nouvelles directives de l'empereur?
Le discours avait repris, et les politiciens elfes recommençaient leur blabla inutile.Bientôt, on appellerait Liana pour donner ses idées et les directions à prendre, puis ce seraient au tour de Beren.Une femme se leva et passa au centre de la scène, et commença à faire un long discours sur les préparatifs à commencer au moment même.
Un mouvement...Beren avait perçu un mouvement au fond de la salle, vers la longue tapisserie.Une statue de dragon majestueux était dressée ici, et représentait Nazgal la Blanche, la protectrice de la reine.Mais, il en était sûr, la statue avait bougé.Peut-être la reine avait-elle demandé à Nazgal d'examinait le débat.Peut-être avait-il simplement crut voir, qu'un peu de fatigue lui avait fait croire à ce mouvement.
Le leonide se jura de vérifier à la fin des débats...si il y avait une fin.

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Nazgal retins un sifflement de soulagement lorsque la nouvelle venue entra dans la salle. Elle remercia la providence pour cette entrée à point nommée. La diversion était bienvenue. Elle remarqua qu’il s’agissait d’une Léonide. Décidément, l’espèce était en plein boum ! En plus, c’est deux là semblait jeune ! Bref, le sujet principale n’était pas la, il lui fallait ce concentrer. Elle était en mission que diable ! Elle se concentra donc de nouveau et par précaution, coinça discrètement le bout de sa queue sous la colonne toute proche, des fois qu’un soudaine enfin de réveiller ses vieux frileux bavards a coup de fouet ne l’a reprenne.

Elle se promis de garder aussi un œil sur le Léonide male, on ne sais jamais avec ses bestioles ce que leurs curiosité maladive pouvait leurs faire faire.

Une femme se leva donc et commença une longue harangue sur les préparatifs a fournir. Elle ne maquait pas de charisme remarqua la dragonne, dommage que ces propos soit aussi dénués d’intelligence !! Ses propositions était loin d’être réalisables étant donné le temps plus que limité qu’il restait.

Enfin l’idéaliste rêveuse se tut, et la Gardienne fut au bord de la déprime lorsque des applaudissements saluèrent sa prestation.

*Et dire que les elfes sont sensés être sage ! Mes cornes oui ! Comme quoi y a des exceptions à la règle !* Pensa t’elle amère.

Enfin, on invita le nouveau venu à se présenter. Les oreilles de Nazgal frémirent et elle se concentra d’avantage, lorsque la femelle à la fourrure auburn vint au centre, avec son sac.

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Le male rendant son salut, Liana posait ses affaires sur la table quant il cita sa ligné ses gestes se suspendirent un instant, mais elle reprit vite constance, ce trouble étrange déjà passé.

La réponse de ce cousin de l’empereur l’étonna presque tout autant.

- Et bien mon Frère, je souhaite donc que tous est la même largesse d’esprit ! Fit elle sans une once d’humour dans la voie, mais avec un sourire aimable quoi que triste.

Tandis qu’elle s’installait, il porta une attention plus poussé a son sac. Elle souria.

- Je n’ais pas l’honneur de côtoyer les grands de l’empire mon ami. Mais il se trouve qu’au cours de pérégrinations, j’ai découvert un élément qui d’après les Conseillers pourrait être un bon… disons argument sur la suite à donner à ces tristes temps.

Elle haussa les épaules, visiblement résignée.

- De toute manière, rien ne fera reculer ces monstres …

Elle allait continuer sa phrase lorsqu’elle fut appelée au centre. Elle s’excusa auprès de Beren d’une inclinaison du buste, et se dirigea vers le centre, son sac avec elle.

Elle laissa un silence s’installer, regardant tour à tour chacun des personnes présentes. Son regard était intense, pénétrant, dérangeant même, pour celui qui n’aurait pas la conscience tranquille.
Lorsqu’elle parla enfin, sa voix était forte, et l’accent guttural des léonines la rendait plus expressive.

- Il était une fois un peuple fort, fier, et sage. Il était une fois un empire qui régnait sur le monde avec justice et courage. Il était une fois : la paix.
- Mais comme le feu a la glace, comme la vie a la mort, la paix n’existe que par son contraire.

Elle écarta les bras, grandiloquente.

- Ainsi est l’équilibre du monde ! Là ou règne l’équilibre le chaos menace, car il ne peut y avoir l’un, sans l’autre.
- L’homme intelligent le sait, l’homme sage l’accepte.
- Et nous ne pouvons plus n’être qu’intelligent.

Elle s’anima progressivement, plongeant avec elle l’assistance dans la passion de ses dires. Elle pointa un point de la salle.

- L’ennemi est là ! A nos portes ! Il a déjà fourbit ses armes et revêtu son armure, il marche vers nous, dans le seul et unique but, de nous détruire.
- La question n’est donc plus de savoir si la guerre va arriver, mais bien quant. Et à cette question, nous ne pouvons que répondre, bientôt.
- Devons nous donc nous laisser broyer, exterminer ? Doit on offrir nos sœurs nos frères nos enfants aux crocs avides de nos attaquants ? Attendrons-nous la hache qui viendra nous achever, comme la chèvre devant le boucher ?

Elle laissa planer un nouveau silence, le temps que chacun digèrent ses paroles, et qu’elle étudie les réactions. Beaucoup était choqué d’un tel discourt dans la bouche d’une Léonide. Elle décida donc de recentrer.

- La guerre n’a pas de bon coté. Elle n’a aucune autre utilité que de semer la mort et la destruction. C’est pour cela que nous ne devons jamais, jamais la provoquer.
- Mais aujourd’hui, c’est la guerre qui vint a nous, et avec elle son cortège de désolations !

Elle marqua a nouveau un silence, puis plongeât les deux mains dans son sac. Et d’un geste théâtral, elle en sortie une tablette de pierre, sculpté et peinte, qu’elle tendit au dessus de sa tête, tournant lentement sur elle-même pour que chacun puisse la voir. Elle représentait une scène, ou un Léonide debout, devant un trône, tendait la main au dessus d’un représentant de chaque race, tous un genou a terre, en signe de respect et de soumission. La tablette était visiblement vieille.

- Voici, repris t’elle d’une voix forte, voici tous ce qui reste de la grandeur passé d’un peuple légendaire. Voici la pierre tombal d’un empire qui n’en à plus que le nom. Nous avons toujours refusé la guerre, même lorsque nos ennemis la portait jusque dans nos terres. Nous ne nous mêlions jamais des conflits des autres. Nous étions des semi dieux.

Elle abaissa la plaque de marbre et souffla dessus, soulevant un nouage de poussière qui en fit tousser plus d’un.

- Et aujourd’hui, voila ce que nous sommes. Un souvenir poussiéreux.

Elle posa la lourde tablette sur le sol à ses pieds.

- Ne commettez pas notre erreur. Merci

Et sur ces mots, dans un silence absolu, elle alla se rassoir aux cotés de Beren, Son rôle était terminé.

Beren écouta la tirade de Liana, qui était précise et très bien formulée.Bien qu'il est toujours était un bon négociateur, jamais il n'avait pu parler ainsi.
Il s'intéressa ensuite aux idées de la léonide, mais n'était pas totalement d'accord.Pour lui, il y avait toujours un chance infime de sauver la paix, mais pas de remettre les leonides à leur rang d'antan.Puis la léonide eut terminé, et elle retourna à sa place, sous un tonnerre d'applaudissements.Une fois qu'elle se fut assise, il lui souffla, assez doucement pour qu'aucun des elfes ne les entendent:
-Joli prestation...tu as ranimé la flamme des guerriers.Je ne pensais pas que ces mangeurs de feuilles soit si apte à faire la guerre.Comme toi, je le vois.Nos avis sont bien opposé.Mais ce n'est pas pour autant que je ne t'apprécie pas.
Il se rendit compte de sa brusquerie, mais voulait quand même le préciser, car il ne rencontrai que rarement d'autres léonides en dehors de leur empire.Il ajouta donc, pour qu'elle ne se frustre pas:
-Il y a de maigres possibilités pour que deux personnes est le même avis...mais ça n'empêche pas qu'ils peuvent s'apprécier.
Il lui sourit, et reporta son attention sur le nouveau politicien qui venait de venir.
Il était plutôt petit pour un elfe, mais était très carré.Même avant qu'il ait parlé, Beren devina que c'était un guerrier.D'ailleurs, tous le savaient.Il avait une épée à la ceinture, et un chapeau d'officier militaire.Une fois au centre, il commença à parler fort,puis il finit par crier.Il parlait de ses ennemis les elfes noirs qui ne manqueraient pas d'attaquer.Il parla ensuite que les peuples devaient se rallier, léonides, dragons et elfes contre la menace.Il parla des préparatifs à faire dans l'immédiat, les préparatifs vitaux.Il partit ensuite, applaudit par de nombreuses personnes, sauf Beren.
Le léonide, ici très tétu, croyait encore en la démocratie.Il attendrait son tour pour exposer son projet.En temps normal, personne ne pouvait parler deux fois, mais, ici, il était deux léonides...

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Woouuuf ! Et ba ca c’était du discourt ! La pour le coup, elle aurait applaudit ! Bon elle pouvait la tout de suite bien sur, mais elle en parlerait a la Reine, fois de dragonne ! La petite lionne n’avait pas la langue dans sa poche, et savais s’en servir.

Humf, mais voila que ce balourd de Neh’endel s’y mettait. Elle aurais bien voulu plaquer ses oreilles sur son crane mais malheureusement, une statue aux oreilles amovibles, c’est pas très crédible ! Cependant elle espérait qu’il ne beugle pas trop longtemps.

Enfin il ce tus, après avoir débité des évidences niaiseuses. Le maitre de salle annonça que le tour de table était fini et que ceux qui souhaitent parler à présent devaient se lever.

Elle lançât un regard aux deux léonides qui semblait en grande conversations. Pas raiment surprenant finalement pensa t’elle puisque la femelle avait eu un avis opposé celui du male ! Espérons que le débat ne dégénère pas.

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Lorsque les applaudissements commencèrent, puis enflèrent comme un orage que l’on voit s’approcher, Liana La Rousse resta parfaitement de marbre, comme si ces félicitations ne comptaient pas, comme si même, elle ne les entendait pas.

Elle savait que Beren n’allait pas vraiment apprécier son discourt, dans le sens ou elle prônait la guerre. Mais elle avait essayé de bien préciser la véritable noirceur qu’il y avait a combattre. Bien sur, elle ne comptait pas le convaincre, au mieux parviendrait elle a lui prouver qu’il s’agissait de la moins mauvaise alternative.

Elle avait peur également qu’il lui en veuille pour avoir parlé au et fort du déclin de leur peuple, sujet tatoue chez une race fière.

Elle était donc un peu raide sur son siège lorsqu’il se pencha pour lui parler.

- Joli prestation...tu as ranimé la flamme des guerriers. Je ne pensais pas que ces mangeurs de feuilles soit si apte à faire la guerre. Comme toi, je le vois. Nos avis sont bien opposés. Mais ce n'est pas pour autant que je ne t'apprécie pas.

Liana eu un sourire en coin, moitié soulagé, moitié amusé. Il avait donc bien réagit dans le sens qu’elle imaginait, mais dans des proportions moindres, et il ne lui en voulait même pas. Le mâle semblait bien compréhensif. Elle se dit alors qu’elle pouvait lui parler sans craindre une colère. Elle referma les mâchoires cependant, devant la prestation plus qu’enflammé du guerrier devant elle. Elle ne put s’empêcher de grogner tout bas lorsque, dans la passion de sa harangue, il bouscula la plaque de pierre, toujours au centre du cercle. Mais il repris par contre certains arguments de la jeune Léonide la montrant de la main de temps à autre. Liana n’eu d’autre réaction que de lever un sourcil, peu convaincue par le style brutal et martial du discoureur. Surtout lorsqu’il parla d’une alliance. Cela était indispensable bien entendu ! Comment une telle évidence pouvait t’elle avoir a être débattu ici ?? Cela aurait frôlé le risible si les circonstances avaient été moins tragiques.
Elle finit donc par murmurer a Beren, puisque les discours semblaient si dépourvus d’intérêt.

-Ma foi, je te remercie pour ton avis ! Ta franchise est très agréable. Mais ne croit pas que je veuille la guerre. Bien sur la paix est mille fois préférable. Mais le monde est aux pieds du mur. Solonia ne reculera pas, soit en sur. De plus…

Elle s’interrompit durant les applaudissements, et ne put parler ensuite puisque le Responsable de la réunion venait de demander a ceux qui souhaitaient reprendre la parole de ce lever. Elle resta bien sur assise, mais lançât un regard interrogatif et encourageant à Beren qu’elle soupçonnait de vouloir reprendre la parole

Une fois que l'elfe hurlant fut parti, l'elfe qui présidait l'assemblée demanda qui voulait à nouveau passer.Un homme très grand et très gracieux se dirigea vers le centre de l'amphithéâtre.Ses cheveux d'or volaient alors qu'il marchait, tant ils étaient long.Ses doigts fins pressaient sa tenue pour ne pas qu'il l'abime.Pas de doute, c'était un elfe.
Il commença par parler de l'alignement des étoiles qui favorisait la guerre.Puis des elfes noirs, démons d'Alhambra, qu'il fallait exterminer, et qu'il partait non pas en guerre, mais en croisade.Il retourna à sa place sans trop d'applaudissements, car ses propos étaient trop haineux envers les elfes noirs.
Puis, poussé par Liana, Beren se leva et se plaça au centre de la pièce, une seconde fois lors de cette longue journée.Les politiciens tournèrent leurs yeux vers lui.Il s'éclaircit la voix, et se lança:
-Après cette longue journée, je serai peut-être un des derniers hommes à vous parler.Après, nous prendrons tous une décision.Nous dirons tous à voix haute, pour ou contre.
Ecoutez moi, la paix peut-être préserver.Cette chance ne tient qu'à un fil, mais elle tient.La paix a embelli l'Alhambra, en a fait un beau domaine.Mais à quoi bon en parler entre nous.Si nous ne nous préparons pas, eux, seront près, et nous extermineront.Mais en allant leur parler directement, nous pouvons sauver la paix.C'est pourquoi je partirai directement pour les Terres noirs après notre débat, pour m'entretenir avec la reine noire.
Que ceux qui me prennent pour un fou soit foudroyé sur place.Je ne me battrai qu'une fois que j'aurai fait mon possible pour sauver la paix.Et aujourd'hui, je ne veux pas me battre.Je ne peux pas me battre.Pas avant d'avoir eut cette entretien avec la reine noire, Solonia.Maintenant, je vais me retirer à ma place, et je reviendrai dans deux jours, pour vous annoncer les décisions de la reine noire.C'est une entreprise folle, certes, mais j'y crois encore.Maintenant, faites votre choix, mais rappelez vous qu'il n'y a rien d'aussi bénéfique que la paix.
Beren fit l'elfe soldat fulminé sur place, et, cette fois, il en était sûr, il avait vu la statue bouger.Peut-être de fatigue, d'approbation ou de désapprobation, mais elle avait bougée!
Il retourna s'assoir, et comme plus personne ne voulait parler, le vote commença.La grande majorité des elfes répondit pour, mais Beren dit un contre qui n'étonna personne.Puis il attendit la réponse de Liana, qui était la dernière a voter.Après il partirait pour les terres noirs, avec pour seul but de sauver la paix.

Dragonne | Admin Messages : 51 Age : 37

La dragonne n'en crut pas ses oreilles! Voila qu'un de ces fichus raciste prenait la parole. Franchement ces débats ça devenait n'importe quoi! Elle commençait a sentir l'hydrogène liquide de sa poche, situé sous le palais commencer a boullionner et ce dit qu'elle devait vraiment ce détendre si elle ne voulais pas replonger le conseil dans un nouvel age de glaces!!!

Puis le léonide se leva et revint parler au centre.
Au moins, ce dit t'elle, aveclui pas de risque de crise d'apoplexie, pas pas me rabattre les oreilles avec ses envies de génocides!

Mais lorsqu'elle eu entendu son discourt, elle ne put s'empécher d'ouvrir la gueule de stupéfaction.
Un léonide suicidaire, ça existait ça??? Avait un plombs de fondu l'pauvre garçon!! Nan mais faut arreter de fumée l'herbe a dragon, c'est pas bon pour les neurones!!

Pour le coup la dragonne n'en revenait pas! Allez parler avec la reine noire! Biensur!!! Et puis elle Nazgal allait se faire un p'ti Feu d'joie, hein histoire de voir si ses écailles étaient innifugés!

Elle mis tout le temps du vote pour se remettre de la nouvelle!
Pendant ce temps, Liana avait donné son vote, sans surprise, pour la guerre, bien que l'on puisse sentir dans son attitude un regret.

Nazgal attentit impatiemment que tous les elfes furent sortit, et comme elle l'espérait, les deux léonides restèrent plus longtemps dans la salle du conseil. Les lourdes portes se refermait a peine, qu'elle brisa son immobilité.

La salle fut plongé dans lapénombre, lorsque l'immense dragonne immaculés étira ses ailes engourdis de plus de 20 mètres d'envergures. Elle tira sus ces nombreuses cervicales et déplia ses 30 mètres de longs du museau au bout de la queue, se délassant de sa positions trop longue.Puis elle rouvrit ses yeux d'or si expréssifs et tourna sa tête de cheval vers les deux hommes lions stupéfaits.

Bonjour messieurs dame! Fit sa voie féminine mais légérement rauque et très puissante.

Beren, c'est bien ton nom? ouai c'est ça, Beren donc, dis moi t'en a d'autre des idées masochistes dans le style, ou tu l'a gardait pour le conseil??

Le ton n'était ni énnervé ni réprobateur juste étonné.
Nazgal avait beau avoir une réputation bénéfique (après tout elle avait sauvé la reine pendant la dernière bataille, et l'avait protégé de son corps) elle n'en restait pas moins un dragon, et rudement gros!

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La jeune femme eu du mal a ne pas montrer sa haine contre ce bellatre blond qui pronait la haine et le meurte pure et simple. Sa lèvre supérieur frémit légérement tant la colère et l'envie de lui sauter a la gorge était forte. Mais comme tout bon léonide, elle se controla, et fixa méchament l'orateur lorsqu'il revint a sa place.

Puis Beren pris enfin la parole. Elle le regarda fièrement jusqu'a qu'il expose son plan. Là elle équarquilla les yeux, avant de ciller violement. L'idée de Beren était non seulement folle mais d'une dangerosité phénoménal! Jamais la Reine ne laisserais repartir entier un émissaire l'Alhambra! Encore moins le petit cousin de l'empereur léonide!

Elle c'était levé d'un bond et allait protester vigoureusement lorsque le vote commença. Elle se rassit donc lentement. Lorsque son tour vint, elle n'avait pas déccroché le regard de Beren et ne vota pas immédiatement. Elle ne le quitta cependant pas du regard lorsqu'elle parla

- Je vote pour, parce que je n'ai pas ta capacité à garder espoir. Puisse tu me pardonner mon frère.

Et elle détacha ses yeux verts du male. Mais elle n'avait pas dit son dernier mot. Elle attentit qu'il sorte pour le suivre, mais il semblait vouloir rester pour une raison inconnue. Elle resta donc également. Elle ouvrit la bouche pour lui parler, mais au même moment la salle s'assombrit brusquement, tendit qu'un bruit dans le fond de la pièce bruissait comme une immense voile que l'on déplirait.

Elle se retourna aussitot, en s'accroupissant légérement. Les griffes sortie. Elle dut lentement lever la tête pour voir celle de son "adversaire" La statue n'en était donc pas une finalement. Elle rentra lentement les griffes et se redressa, avec l'air coupable d'un chaton pret à bondir sur un tigre.

Liana écouta le dragon et ce dit que si elle voulait parler a Beren, elle devrait surement le faire devant la bête. Mais autant attendre sa réaction a lui, d'abord.

Le vote de Liana n'étonna pas le moins du monde Beren qui se contenta de lui sourire.Puis il attendit que les autres sortent pour dire quelque chose à Liana.Mais au moment où il voulut parler, un bruit phénoménal se fit entendre au fond de la salle.
Finalement, il n'était pas fou!La statue bougeait bel et bien!A la fois heureux et effrayé, son amie avait déjà dégainée.Lui n'avait pas cette habitude, ce qui pouvait des fois lui sauver la vie.
Ce n'était pas une statue, mais bien la vraie Nazgal qui se tenait devant eux.Elle était majestueuse et magnifique à la fois, dégageant force et beauté...un spectacle magnifique.
Puis elle s'adressa à Beren, en parlant de son projet de négociation avec la reine noire.Le ton n'était pas énervé mais plus étonné par l'attitude du léonide.Ce dernier savait que c'est ce que Liana souhaitait également demander, il allait donc bien choisir ses mots:
-Si je vais là-bas, ce n'est pas de mon plein gré, même si je suis fier et heureux d'avoir été acquitté de cette mission.C'est l'empereur en personne qui me l'a demandé!Sachant que j'étais bon ambassadeur, l'empereur m'envoie là-bas pour tenter de sauver la paix.Bien sûr, il se doutait que je n'en sortirai pas vivant, mais la reine à acceptée, et c'est pour cela que je vais me rendre dans les terres noires pour empécher la guerre.C'est ainsi, et pas autrement.Personne ne pourra me défaire de mon idée.Maintenant, si vous voulez bien m'excusez.
Il se leva, et reprit:
-Nazgal, ce fut pour moi un honneur de vous rencontrez.
Puis il se tourna vers Liana et lui dit:
-J'espère te revoir.
Puis il se dirigea à grandes enjambées vers la porte, au risque de paraitre grossier, mais ne voulant pas continuer à débattre ainsi alors qu'il venait de la faire durant toute une journée.

Dragonne | Admin Messages : 51 Age : 37

Nazgal n’eu aucune réaction devant l’attitude de défense de la jeune femelle. Déjà parce ce n’était pas avec c’est aiguilles a tricoter qu’elle allait lui faire grand-chose, et ensuite parce qu’elle était habituée a ce genre de réaction

Elle remarqua cependant la réaction parfaitement inverse de Beren, et décida de lui en toucher deux mots.

- Bon, ba si c’est Aodren qui te l’a demandé ! Mais te fait pas trop d’idées, Solonia n’est pas vraiment facile à convaincre quant il s’agit d’être pacifique. Alors essaye de dégainer un peu plus fissa quant tu serra la bas, histoire de pas te faire découper avant l’audience !!

La dragonne répondit a son salut par un hochement de tête.

- Complètement allumé le pauvre !! Fit-elle. Dommage il avait l’air sympa.

Elle allait continuer en s’adressant a Liana lorsque celle-ci la salua rapidement, et passa a toute vitesse devant elle, poursuivant visiblement son semblable.

- Heyyyy Tu va pas t’y mettre aussi !! Siffla Nazgal.

- Vous allez devenir une espèce en voie de disparition !! lui cria t’elle, mais Liana ne fit pas demi tour

- Rumph, tu te fais vieille mon pauvre lézard, plus personne ne t’écoute !!grogna t’elle entre se dents, avant de disparaitre dans une grande lumière blanche.

Léonide Messages : 19

Liana contins avec peine un grognement d’énervement lorsque Beren expliqua qu’il s’agissait d’une mission officiel. Décidément, l’empereur accordait bien peu d’importance à la vie de ses sujets.

Elle n’en attendait pas moins de lui ! Toujours a vouloir faire les choses de lui-même, sans l’aide des autres peuple. A vouloir régler les problèmes seul, a sa manière. Elle enrageait que le dirigeant de tout un peuple puisse agir de facon aussi buté ! Mais ce n’était pas le moment de faire une étude psychologique mille fois faite.

Beren salua Nazgal et Liana, puis sorti, et elle pris sa décision avant même de s’être posé la question.

Saluant Nazgal d’une rapide et peu protocolaire révérence, elle s’élançât à la suite de Beren, espérant le rattraper dans l’un des couloirs du palais, avant qu’il ne sorte. Les léonines ne s’entendant que très difficilement avec les chevaux, elle était sur qu’il ne prendrait pas la direction des écuries.

Voyant son large dos devant elle, elle accéléra, et un courtisan elfe de passage en fit les frais ! Ne voyant la léonide qu’au dernier moment, il eu juste le temps de sauver sa peau en plongeant dans le parterre tropical qui bordait le couloir. Il ne sorti la tête du buisson d’acacia qui l’avait épineusement accueillit que pour insulter la furie aux pattes de lion qui lui avait sauvagement foncé dessus.

Mais Liana n’en eu cure, et laissa aux passant attirés par les cris de l’elfe le soin de le tirer de sa situation pour le moins…piquante.

- Beren, Beren attend moi par les dieux Cria t’elle, le rattrapant

Marchant dans les nombreux couloirs du sénat, Beren fut rattrapé par Liana quand il atteins la porte.Il se retourna, et s'arréta, car elle semblait l'avoir hélée.
Dehors, c'était la nuit noire...ainsi, les négociations avaient-elles durée aussi longtemps?Qu'importe!Il avait une nouvelle mission.Il fallait qu'il se transforme en lion, puis qu'il cours jusqu'au Terres Noirs et...
Son attention se reporta sur Liana, sa congénère.Il lui sourit, et se détendit.Il se massa les tempes et s'approcha d'elle.De sa voix habituel, forte et douce à la fois, il lui dit:
-Peut-être que cet entreprise est folle, et...peut-être que je ne te reverrais pas.Mais je ne le fais pas que pour l'empereur.
Il ne termina pas sa phrase.Liana était intelligente, elle avait compris qu'il le faisait avant tout pour lui.
Derrière eux passèrent un elfe des plus mécontents que le léonide est vu.Il ressemblait d'ailleurs d'avantages à un porc-épic qu'à un elfe.Il dressa le point, et, pour le faire fuir, car il voulait être tranquille avec Liana, il poussa un rugissement qui fit sursauter Liana.L'elfe ne demanda pas son reste et s'enfuit à toutes jambes.Puis Beren reprit:
-Mais pourquoi me cours-tu après?

Léonide Messages : 19

Liana, qui était tout de même profondément remontée, ce calma légèrement lorsqu’elle vit le geste de Beren. Courir dans les couloirs n’était pas une de ces activités favorites, elle préférait de loin économiser son énergie. Mais voir le male ce frotter les tempes lui rappela que la séance avait du être dure pour lui.

- Peut-être que cet entreprise est folle, et...peut-être que je ne te reverrais pas. Mais je ne le fais pas que pour l'empereur.

L’elfe mécontents avait apparemment l’intention de faire payer son envolé a Liana et Beren du intervenir pour le faire fuir. Il partit avec une évidente rage inassouvi et Liana se promis de penser a régler cette histoire plus tard.

Une fois l'atmosphère redevenu plus calme, elle répondit a Beren.

- Le problème n’est pas là ! Tu serais bien avisé de ne pas agir uniquement pour l’empereur, et oui, c’est sans aucun doute possible une entreprise folle.

Elle émit un bruit de gorge, l’équivalent d’un « humf » humain et croisa les bras.

- Le fait est que rien ne t’oblige à y aller seul ! Ah moins bien sûr, que ce voyage est un but très personnel, auquel cas je ne m’imposerais pas.
- Je sais que la Reine t’attend toi, et je ne me montrerais pas une fois arrivé. Mais au moins je couvrirais tes arrières. Si ça tourne mal, tu pourrais ne pas être mécontent de me savoir dans les parages non ?

Liana ne disais pas tout. Même si ses arguments étaient parfaitement vrais, d’autres paramètres entraient en jeux, paramètres que Beren n’avait pas à connaitre, pour le moment du moins.

Réfléchissant vite, Beren finit par répondre:
-Je ne sais pas pourquoi tu tiens tant à venir...sûrement pas uniquement pour cela mais, soit!Tu n'as qu'à venir avec moi.
Puis il se détourna, et, piochant dans son énergie, commença sa transformation.Le picotement familier de la métamorphose se fit sentir, puis, Beren posa ses pattes sur le, sol, et dans un grand éclair blanc, devint un lion.
Il commença par se dégourdir les jambes, puis tourna la tête vers la léonide et lui dis:
-Bon, tu es sûr de toi?Tu viens?
Beren attendait sa réponse en s'habituant à sa nouvelle forme, trottinant un peu, fouettant l'air de sa queue.

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Finalement cela n'allais pas être si facile que prévut! Si Beren avait accepté facilement sa présence, il était loin d'être dupe, et l'aurait à l'oeil. La jeune lionne devrait être prudente. Mais elle savait qu'elle aurait tout le temps nécéssaire a son entreprise pendant que Beren discuterait avec la reine.

Elle regarda Beren se transformer et pris elle aussi son apparence animal. Elle aimait beaucoup cette forme, et restait le plus souvent ainsi.

En quelques secondes, une lionne de la taille d'un poney se tins aupres du lion, plus grand encore. Sa fourrure cuivre et bronze brillait au soleil et ses yeux avaient conservés leur couleur vert d'eau, inabituel puisque les léonides avaient tous généralement les yeux jaunes dorés sous leur aspect félin.

Les léonides étant des créatures évolués, ils avaient aquis une capacités télépathique, n'agissant qu'entre eux. Liana parla donc a Beren, avec son esprit.

*Je suis sur de moi. Je suis pretes, je te suis. Tu n'aura qu'a m'expliquer en chemin comment tu compte t'y prendre pour parvenir jusqu'a la reine sans encombre! Car les efle noirs serons ravi d'étendre des peaux de lions sur leurs lits!*

Beren fut étonné des yeux verts de Liana, mais n'en eût que faire...quelle différence, après tout?Il se tourna vers les portes de la ville, et envoya un message à Liana.
*Nous devrions partir maintenant, car la route est longue jusqu'à Glólith.*
Puis il s'élança, suivi de Liana.
Les gens dans les rues s'écartaient vivement du passage, n'ayant pas envie d'avoir affaire à ces lions.D'ailleurs certains qui ne connaissaient pas les léonides eurent des mouvements de recul, et même d'effroi.Mais les deux lions n'en eurent cure.
Ils dépassèrent les hautes portes et partirent loin de la Cité Blanche, là-bas, vers les Terres Noires.

HJ: Je pense qu'on peut finir le topic ici.Tu en penses quoi?

Poste déjà fait dans les Terres Noires tu as qu'à parler de ta mission